Il ne trouve d’ailleurs pas de raisons pour lesquelles les solutions Open Source sur le Cloud Computing seraient la panacée. En effet, il estime, en tout cas pour le cas d’OpenStack que la gouvernance technique est trop large pour obtenir des avancées technologies significatives. Il estime même que c’est un frein au dynamisme et à la réactivité, mentionnant au passage la vivacité et la qualité des réalisations et/ou évolutions d’AWS. Même à grande échelle (nombre de développeurs et de sociétés partenaires), une solution Open Source ne peut dépasser une solution propriétaire, en tout cas comme celle d’Amazon. Il en profite pour rappeler la base installée ou plutôt consommée par AWS, plus de 800.000 adresses IP. Il pense en final, qu’il faudra des années (2 à 3 ans), voire même qu'il ne soit pas certain à ce qu’une solution Open Source (why not OpenStack) arrive au même niveau, voire dépasse AWS. A vrai dire, même si en un an, un travail considérable a été réalisé par OpenStack, il y a encore énormément de pains sur la planche pour espérer rivaliser sur un délai raisonnable avec le maître en la matière. Ce qui pourrait toutefois jouer en faveur d’OpenStack, ce n’est pas de copier systématiquement les réalisations AWS (absolument nécessaires), mais apporter sur certains volets de réelles plus-values, actuellement inexistantes sous AWS. A petite échelle, je pense à la fonctionnalité VaaS (Volume array a Services) avec le choix de différents types de support en mode bloc. Je pense aussi qu’il est nécessaire que lors d’arbitrage de design OpenStack, le poids de l’architecte en chef (tous projets confondus) soit révisé à la hausse et que de plus, cet architecte soit élu, au minimum, une fois par an. A vrai dire, c'est peut-être déjà le cas ou quelque chose de similaire. Il faut que je relise en détail cet aspect.
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